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sexta-feira, 16 de agosto de 2024

Mes impressions sur le Gemini, après deux mois d'utilisation gratuite

1) Aujourd'hui, j'ai annulé mon abonnement à Google Gemini, après avoir passé deux mois à expérimenter le produit (du 20 juin au 20 août).

2) Je peux dire que je l'ai beaucoup apprécié, surtout lorsqu'il s'agit de faire des analyses croisées et détaillées entre les livres que je numérise et les vidéos dont je fais la transcription. Ce croisement de données révèle des informations précieuses qui m'auraient normalement échappé.

3) Un autre grand avantage est que je peux établir des dialogues imaginaires entre les auteurs des œuvres, au point de révéler une idée possible de ce qui se passerait si des auteurs de différentes époques se trouvaient face à face pour discuter de leurs idées, dans les termes où elles ont été écrites. Vous savez, cet exercice d'imagination que le professeur Olavo recommande et que très peu de gens font jusqu'à imaginer des dialogues possibles entre les auteurs ? Cela devient désormais un fait révélé et projeté de la réalité, au point de montrer une tendance, maintenant publiquement connue de tous, précisément parce qu'il s'agit d'un fait objectif de la réalité, révélé grâce au travail de l'intelligence artificielle.

4) Bref, j'ai beaucoup aimé le service. Lorsque j'aurai les moyens de payer les 96 R$ pour l'abonnement mensuel de Gemini, j'utiliserai certainement le service avec beaucoup de plaisir.

José Octavio Dettmann

Rio de Janeiro, le 16 août 2024 (date de la publication originale).

Minhas impressões sobre o Gemini, após dois meses de uso gratuito

1) Hoje, eu cancelei minha a assinatura com o Google Gemini, após passar dois meses experimentando o produto (entre os dias 20 de junho e 20 de agosto)

2) Posso dizer que gostei muito dele, quando o assunto é fazer análises cruzadas e detalhadas entre os livros que digitalizo e os vídeos cuja transcrição eu faço. Esse cruzamento de dados revela informações preciosas que normalmente me teriam passado despercebido.

3) Outra grande vantagem é que posso estabelecer diálogos imaginários entre os autores das obras, a ponto de revelar uma possível idéia do que aconteceria caso autores de épocas diferentes estivessem presentes face-a-face para discutir suas idéias, nos termos em que elas foram escritas. Sabe aquele exercício de imaginação que o professor Olavo recomenda e que muitos poucos fazem a ponto de imaginar possíveis diálogos entre os autores? Ele agora a passa ser um dado revelado e projetado da realidade, a ponto de apontar uma tendência, agora publicamente conhecida por todos, justamente por ser um dado objetivo da realidade, revelado por conta do trabalho da inteligência artificial.

4) Enfim, gostei muito do serviço. Quando tiver condições de pagar os R$ 96,00 pela assinatura mensal do Gemini, com certeza aproveitarei o serviço com muito prazer.

José Octavio Dettmann

Rio de Janeiro, 16 de agosto de 2024 (data da postagem original).


L'entreprise qui a forgé le monde moderne: la Compagnie des Indes Orientales

 

Navire de la Compagnie des Indes orientales en mission commerciale en Inde
 

(0:00) Lorsque la Compagnie des Indes orientales commanda une peinture des événements survenus en 1623 à (0:08) Amboine, une île productrice de clous de girofle située aujourd'hui dans l'archipel indonésien, cette peinture enflamma (0:15) l'opinion publique. Intitulée Les atrocités d'Amboine, la peinture représentait la torture et (0:21) la décapitation de dix marchands anglais par des agents hollandais, prétendument pour avoir tenté (0:27) de prendre le contrôle du lucratif commerce des épices dans la région. La peinture était si incendiaire qu'après (0:33) seulement deux semaines d'exposition au siège de la Compagnie, le roi ordonna son retrait, et elle ne fut jamais (0:39) exposée à nouveau en public.

Mais la mémoire des événements d'Amboine perdura. Entre 1624 et 1781, la Compagnie (0:47) des Indes orientales publia à une douzaine de reprises un pamphlet intitulé Un véritable récit des (0:52) procédés injustes, cruels et barbares contre les Anglais, avec deux illustrations effrayantes en (0:58) couverture représentant des interrogateurs hollandais torturant les marchands anglais, tous (1:03) devenus des martyrs. Le massacre d'Amboine, comme il fut appelé, devint une partie de l'histoire (1:09) fondatrice de la Compagnie et, par extension, de l'Empire britannique en Asie.

La défaite à Amboine et (1:16) les morts cruelles de ses marchands éloignèrent la Compagnie du commerce des épices des Indes (1:21) orientales et de la compétition avec la Compagnie hollandaise des Indes orientales, VOC. À la place, (1:28) la Compagnie des Indes orientales se tourna vers le commerce des textiles, du coton et de la soie avec (1:33) l'Empire moghol, en Asie du Sud, élargissant finalement son commerce lucratif à des (1:38) produits tels que le thé et le trafic illégal d'opium, tout en étendant son influence à travers (1:43) le sous-continent indien jusqu'au golfe Persique, en Chine et dans d'autres parties de l'Asie. Ce qui a commencé avec le massacre (1:48) d'Amboine finit par aboutir à la création d'un empire qui s'étendait à travers le globe et qui, (1:54) finalement, a forgé le monde moderne tel que nous le connaissons.

La Compagnie des Indes orientales, peut-être le (2:05) partenariat public-privé le plus lucratif de l'histoire, a contribué à la formation de l'Empire (2:11) britannique, a stimulé l'industrialisation de l'Europe et a uni l'économie mondiale. Elle était au premier rang (2:16) parmi des dizaines d'autres compagnies ayant obtenu des droits de monopole et des revendications souveraines (2:21) grâce à des concessions politiques accordées. Ces compagnies, avatars de la couronne, ont combiné la quête du (2:28) profit avec les prérogatives du gouvernement, même si elles gouvernaient souvent selon leur propre volonté, (2:34) sans aucun respect pour les lois, encore moins pour les coutumes locales.

En important des matières premières, (2:40) elles alimentèrent le secteur manufacturier de la révolution industrielle, stimulèrent la demande (2:44) pour des produits étrangers et dominèrent les marchés de capitaux croissants de Londres, (2:49) tout en exécutant les volontés de l'État dans la construction de l'Empire britannique. (2:54) Ces compagnies ont contribué à revendiquer près d'un tiers du territoire mondial pour le Royaume-Uni, (2:59) faisant de l'Empire le plus grand jamais connu. Depuis cette époque, les historiens débattent (3:04) de la signification et de l'impact durable de ces entreprises de l'ère impériale.

Certains, utilisant (3:09) le profit et l'échelle de ces entreprises comme paramètres, voient les grandes multinationales d'aujourd'hui comme des (3:14) manifestations contemporaines de ces compagnies qui étaient courantes à l'époque. (3:19) D'autres considèrent que la plus grande d'entre elles, la Compagnie des Indes orientales, était encore plus puissante. Elle a été (3:25) décrite comme la CIA, la NSA et la plus grande et la plus redoutable multinationale de la Terre, tout cela (3:31) réuni en une seule entreprise.

Une corporation dont le pouvoir, à l'instar d'une entreprise comme Meta, (3:36) est resté pratiquement incontrôlé pendant des années. Ces compagnies existaient souvent au-delà de (3:43) l'emprise de la réglementation étatique et, sous bien des aspects, elles fonctionnaient comme des États (3:48) indépendants, avec leurs propres formes de souveraineté. Issues de guerres incessantes, (3:53) la Compagnie des Indes orientales et la VOC devinrent deux des corporations les plus puissantes (3:59) que le monde ait jamais connues.

Les deux obtinrent des monopoles garantis par l'État et possédaient (4:03) des pouvoirs généralement associés aux États souverains, y compris le droit de construire des forteresses, (4:08) d'avoir des armées, de frapper de la monnaie, de déclarer la guerre, de signer des traités et de mener des activités diplomatiques avec (4:16) des entités non européennes. Elles étaient aussi indéniablement des entreprises commerciales à la (4:21) pointe de l'innovation financière, qui, combinées avec une ambition débridée et la permission de faire (4:26) la guerre, généraient d'énormes richesses, suffisantes pour stimuler l'âge d'or néerlandais du XVIIe siècle (4:31) et la révolution industrielle britannique aux XVIIIe et XIXe siècles. À Amsterdam, les peintures de grands (4:37) artistes comme Rembrandt et Johannes Vermeer ornaient l'époque, et des idées innovantes, y compris (4:43) celles des philosophes Baruch Spinoza et Hugo Grotius, se répandirent partout.

À Londres, (4:50) les matières premières importées contribuèrent à la croissance de la production nationale et à l'émergence (4:55) d'une classe moyenne urbaine. Nombreux étaient ceux à l'époque, y compris le penseur conservateur Edmund Burke, (5:00) qui voyaient les fortunes de la Compagnie des Indes orientales et celles de la Grande-Bretagne comme étant (5:06) inextricablement liées. La VOC émergea comme la première entreprise cotée en bourse au monde, (5:12) payant des dividendes annuels moyens de 18 % pendant près de deux siècles.

À son apogée, la VOC valait l'équivalent (5:19) de près de 7,9 trillions de dollars d'aujourd'hui, une somme supérieure à la valeur combinée actuelle (5:27) d'Alibaba, Alphabet, Amazon, Apple, AT&T, Bank of America, Berkshire Hathaway, Chevron, (5:34) ExxonMobil, Facebook, Johnson & Johnson, McDonald's, Netflix, Samsung, Tesla, Visa et Walmart. (5:42) Quant à la Compagnie des Indes orientales, elle évolua en une entreprise cotée en bourse permanente en 1657. (5:49) À l'instar des entreprises modernes, elle avait le statut juridique d'une personne morale avec des droits, (5:55) mais peu d'obligations, des actions transférables, une responsabilité limitée et une séparation entre (6:01) la gestion, les administrateurs, et les propriétaires, les actionnaires.

Tout comme avec la VOC, n'importe qui pouvait (6:07) investir dans l'entreprise commerciale impériale, en tirant des bénéfices financiers et en revendiquant (6:12) même un certain pouvoir outre-mer. Pour vous donner une idée, au début du XIXe siècle, la Compagnie (6:18) des Indes orientales avait une armée privée de 200 000 soldats, deux fois la taille du Royaume-Uni. Elle contrôlait (6:23) près de la moitié du commerce du pays et gouvernait la majeure partie du (6:28) sous-continent indien.

Les actionnaires élisaient chaque année des commerçants et des hommes d'État qui (6:34) élaboraient et mettaient en œuvre des politiques, déterminant le sort de millions de (6:38) habitants des régions soumises à la Compagnie. La VOC et la Compagnie des Indes orientales (6:44) ont brouillé les frontières entre le public et le privé dans leur quête de profit et de pouvoir, mais elles n'étaient pas (6:49) seules. Les États européens ont accordé ce type de licence et ont aidé des dizaines d'entreprises privées (6:56) qui, à leur tour, ont fourni les moteurs de l'expansion impériale et capitaliste à travers le monde.

(7:01) Dans la marche de l'Angleterre vers la construction de son empire, il y avait des dizaines d'autres compagnies similaires qui (7:06) ont reçu des droits de monopole et qui ont financé et propulsé les premières tentatives de fonder (7:12) des colonies anglaises et de tirer profit du commerce de toutes sortes de matières premières, ainsi que des personnes (7:17) réduites en esclavage. Les marchands anglais, établissant les bases économiques et politiques de l'empire, (7:23) dépendaient néanmoins de l'intervention de l'État pour garantir leur accès aux marchés. Les navires (7:28) militaires maintenaient les portes du commerce ouvertes, par exemple, en Chine, lors des guerres de l'Opium au (7:33) XIXe siècle.

La marine poliçaient les eaux coloniales, protégeant le transport des marchandises, notamment (7:39) après la bataille de Lagos, une défaite dévastatrice en 1693. Les entreprises impériales contribuaient (7:46) généreusement aux coffres de l'État par le biais des droits de douane, avec seulement 5 entreprises, (7:52) principalement la Compagnie des Indes orientales, représentant environ un tiers du budget (7:57) public de la Grande-Bretagne au milieu du XVIIIe siècle. Ces entreprises ont également contribué à créer de nombreux (8:03) emplois, que ce soit dans les ports de Londres ou en mer et sur les champs de bataille de l'empire.

La Levant Company, à elle seule, employait environ 5 000 marins jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Mais interpréter (8:16) l'Empire britannique comme une simple histoire de colonialisme d'entreprise ne donne qu'une image partielle de cette histoire. David Livingstone, le célèbre missionnaire et explorateur britannique du (8:29) XIXe siècle, a résumé le credo impérial du Royaume-Uni en trois mots : christianisme, commerce et (8:36) civilisation.

Le pouvoir et le profit ont certainement motivé les États et les entreprises, tout comme (8:41) ils le font avec les entreprises modernes aujourd'hui. Mais les États et les entreprises, à l'époque impériale, n'opéraient pas (8:46) dans un vide idéologique, tout comme les entreprises modernes. La notion de mission civilisatrice du Royaume (8:53) Uni était perçue comme très importante à la fois dans la métropole et dans le reste de l'Empire.

Cela (8:58) a conduit de nombreux missionnaires, comme Livingstone, à répandre l'Évangile et les normes occidentales à travers (9:04) le monde, tandis que de jeunes administrateurs coloniaux tentaient de remodeler les sujets de l'Empire (9:10) à l'image libérale et moderne du Royaume-Uni. Mais la Compagnie des Indes orientales n'était pas (9:14) une unanimité, encore moins éternelle, et elle a finalement été démantelée et éliminée (9:20) par l'État britannique. Dès le XVIIe siècle, un membre du Parlement britannique écrivait sur la Compagnie (9:26) en la qualifiant de « suceuse de sang du bien commun ».

Le comportement destructeur de ces compagnies s'est étendu aux (9:33) populations locales par des mesures qui ont entraîné la famine, des politiques de travail exploitantes et des tactiques (9:39) de terre brûlée. Le célèbre économiste Adam Smith s'est moqué de ces entreprises (9:45) pour leur négligence, insistant sur le fait qu'elles étaient des vestiges d'une époque révolue de l'organisation capitaliste qui (9:50) freinaient la croissance économique et donnaient lieu à une mauvaise gestion et à des abus. Burke lui-même, (9:56) alors qu'il était homme politique, a mené le procès en destitution de Warren Hastings, le gouverneur (10:02) général du Bengale pour la Compagnie des Indes orientales, devant la Chambre des Lords.

Indigné non pas (10:08) par l'ambition impériale de la Grande-Bretagne, mais par la conduite de Hastings et des employés de (10:13) la Compagnie des Indes orientales, que Burke a ridiculisés. « Des garçons sans tuteurs, des mineurs sans (10:20) gardiens », a-t-il dit lors du procès. « Le monde est livré à eux, avec toutes ses tentations, (10:27) et ils sont lâchés sur le monde, avec tous les pouvoirs que le despotisme confère ».

Le Parlement, (10:34) surtout après la crise fiscale de la Compagnie des Indes orientales et le sauvetage massif du gouvernement (10:39) dans les années 1770, a insisté pour réduire la souveraineté corporative de l'entreprise, la remplaçant (10:46) par une supervision accrue jusqu'à ce que, après la rébellion sismique en Inde en 1857, il nationalise (10:52) l'administration de l'entreprise sous le pouvoir de la couronne britannique. Moins de 20 ans plus tard, l'entreprise a été (10:58) dissoute, bien que ses pratiques corrompues aient survécu dans d'autres États et entreprises de l'Empire, (11:03) ainsi que dans certaines multinationales d'aujourd'hui. Les gouvernements et les entreprises d'aujourd'hui peuvent (11:09) et doivent tirer les leçons des erreurs des géants mondiaux qui ont financé et propulsé les (11:13) empires européens.

Ces entreprises, lancées comme des entreprises capitalistes, sont rapidement devenues (11:19) des partenariats public-privé, acquérant et conservant des territoires tout en transcendant (11:24) les frontières souveraines et en restant souvent à l'écart des lois des États souverains. (11:30) Tout comme certaines multinationales d'aujourd'hui, elles étaient très douées pour faire du lobbying et créer de nouvelles (11:36) structures et formes d'entreprises afin d'échapper aux législations étatiques qui ne (11:40) parvenaient pas à les contenir. L'interrogatoire récent du Congrès des États-Unis à Mark Zuckerberg et (11:46) l'influence disproportionnée de Facebook sur les résultats politiques rappelaient en certains points (11:50) les interrogatoires de Hastings par Burke au XVIIIe siècle devant le Parlement.

Ces critiques (11:56) nécessaires peuvent sembler satisfaisantes face aux crises globales existentielles qui exigent des solutions (12:02) plutôt que des lamentations et des avertissements. Que ce soit la Compagnie des Indes orientales ou Facebook, (12:08) les entreprises multinationales exploitent souvent les faiblesses de l'État ou l'absence totale de celui-ci.

Porfessor HOC

Message original:

https://www.youtube.com/watch?v=eENBbr-uBo0

quinta-feira, 15 de agosto de 2024

Notas sobre a combinação envolvendo cashback Méliuz, pix, Wise e Amazon sueca

1) Quando receber minha nova remessa de cashback de R$ 20,00 da Méliuz, eu pretendo transferir esse dinheiro para a Wise via pix. Lá, eu converto esse dinheiro para coroas suecas, dado que eu tenho vantagem cambial, ao converter reais em coroas suecas, já que eu recebo praticamente duas coroas para cada real convertido - mas precisamente, 1,91 em coroas suecas para cada real convertido.

2.1) Além disso, a Suécia fica na Europa e é membro a União Européia - como este país tem uma indústria naval bem desenvolvida, eles podem oferecer frete grátis para países que estão fora da União Européia, o que torna este lugar muito atraente para se fazer compras. 

2.2) Para eu receber detaxe das compras que faço na Suécia, eu preciso gastar pelo menos 200 coroas suecas num só dia, numa única loja, seja ela física ou online. Para a compra de livros eu recebo, 6% de volta do valor pago.

3,1) Esse dinheiro que vou converter para as coroas suecas, ele será usado para comprar crédito na Amazon Sueca e - quando eu fizer a compra, eu mando o produto para Bear, no Delaware, por questão de segurança. Minhas compras serão rastreadas e aí poderei ver para onde elas estão indo

3.2) Uma vez recebido esse detaxe, esse dinheiro é depositado na minha conta da Avenue, como se fosse um cashback.

4) Vamos ver até onde vai essa experiência que pretendo fazer.

José Octavio Dettmann

Rio de Janeiro, 15 de agosto de 2024 (data da postagem original).

segunda-feira, 12 de agosto de 2024

Análise cruzada das três últimas transcrições que foram feitas

 Os três vídeos analisados, apesar de abordarem contextos geográficos e temporais distintos, convergem para um ponto central: a crítica ao socialismo e suas consequências. O fio condutor que une as narrativas é a denúncia dos impactos negativos que o socialismo, segundo os apresentadores, impõe às sociedades onde se instala.

1. O fracasso do socialismo em Cuba: O primeiro vídeo retrata a situação de Cuba, destacando a pobreza extrema, a escassez de alimentos e medicamentos, e a insatisfação generalizada da população com o regime. O apresentador atribui esses problemas ao socialismo, argumentando que o modelo leva à repressão e ao empobrecimento.

2. A derrocada da Venezuela: No segundo vídeo, a Venezuela é o foco. O apresentador traça um paralelo entre a prosperidade do país nas décadas de 1950 e 1980 e a crise atual, caracterizada pela hiperinflação, pobreza e escassez. Ele atribui essa mudança à ascensão do socialismo, que teria destruído a economia e levado o país à miséria.

3. O fracasso das oligarquias políticas na Europa: O terceiro vídeo, embora ambientado na Europa, ecoa o mesmo discurso crítico ao socialismo. O apresentador argumenta que as oligarquias políticas europeias, tanto de esquerda quanto de direita, fracassaram em suas gestões, levando a problemas como migrações descontroladas e perda de liberdades. Ele sugere que o chamado "populismo" é uma reação natural a esse fracasso.

Convergências:

  • Crítica ao socialismo: Os três vídeos compartilham uma visão negativa do socialismo, retratando-o como um sistema que leva à pobreza, à escassez, à repressão e à perda de liberdades.
  • Alerta contra a esquerda: Os apresentadores alertam para os perigos da esquerda, argumentando que suas políticas podem levar países à ruína, como no caso de Cuba e da Venezuela.
  • Valorização da liberdade e da prosperidade: Os vídeos defendem a liberdade individual, a prosperidade econômica e a importância de um sistema político que respeite os direitos individuais.

Divergências:

  • Contexto geográfico e temporal: Os vídeos abordam diferentes contextos. O primeiro foca em Cuba nos dias atuais, o segundo na Venezuela ao longo das últimas décadas, e o terceiro na Europa contemporânea.
  • Ênfase em diferentes aspectos: O primeiro vídeo enfatiza a pobreza e a escassez em Cuba, o segundo a derrocada econômica da Venezuela, e o terceiro a perda de liberdades e a ascensão do "populismo" na Europa.

Conclusão:

Os três vídeos, apesar de suas particularidades, constroem um discurso coeso em torno da crítica ao socialismo e à esquerda. Eles alertam para os perigos dessas ideologias, defendendo a liberdade, a prosperidade e a importância de um sistema político que respeite os direitos individuais. A análise cruzada revela uma convergência de ideias e preocupações em relação ao futuro da sociedade, transcendendo contextos geográficos e temporais específicos.

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Velhas oligarquias políticas estão deixando os países mais pobres, mais inseguros e menos livres

(0:00) Bom dia, bem-vindos aqui ao canal para mais esse vídeo. (0:04) Hoje é sexta-feira, 21 de junho de 2024. (0:07) O tema é extremamente interessante e tem a ver com a ruptura que nós notamos no Brasil, (0:15) nós notamos em outros países, em quase todos os países, entre aqueles que governam, (0:22) entre aqueles que mandam, entre as oligarquias que tomaram conta das instituições (0:28) ou criaram instituições, muitas vezes artificiais, para se escudar atrás delas.

(0:35) E a massa das pessoas, eu não gosto muito de dizer a massa, talvez diria melhor o conjunto das pessoas, (0:45) sejam elas pessoas simples, sejam elas pessoas médias, sejam elas, muitas vezes, pessoas abastadas. (0:53) Mas o que é fato é que há esse rompimento. (0:56) Mas antes de entrarmos no tema, eu vou dar aqueles avisos aqui, habituais.

(1:01) Por favor, eu peço a todos aqueles que venham assistir esse vídeo que não sejam inscritos no canal, (1:06) inscrevam-se no canal, por favor, ativem o sininho para receber as notificações (1:12) e comentem esse vídeo, deem like nesse vídeo, porque tanto comentar como dar like (1:19) ajuda a aumentar a repercussão do vídeo e a ele ser distribuído para mais pessoas (1:26) e aqueles que quiserem fazer alguma contribuição com o canal podem fazê-lo através do pix que está aí embaixo. (1:34) Eu quero mais uma vez agradecer a todos aqueles que já contribuíram ao longo destes dias, (1:41) contribuíram com o trabalho do canal. (1:43) Eu pego de novo hoje um artigo saído num portal português, muito importante, (1:50) chamado Observador, de um historiador analista político, também chamado Rui Ramos, (1:59) em que ele fala do grande fracasso das oligarquias europeias.

(2:05) Eu vou ler aqui os trechos que eu marquei e nós vamos comentando aqui rapidamente esses trechos (2:12) porque eles são reveladores, não apenas do que está acontecendo na Europa, mas do que acontece no Brasil. (2:19) Ele não está falando do Brasil, é claro, ele está falando da Europa como fruto, (2:25) em função, digamos assim, não como fruto, mas em função dos resultados das eleições europeias. (2:32) Portanto, um aprofundamento desse resultado, em vez de ficar apenas na questão se foi a direita, (2:38) se foi a esquerda que venceu as eleições.

(2:41) Eu vou lendo e vamos comentando. (2:43) Por toda a Europa é a mesma coisa. (2:46) Os velhos partidos querem convencermos que o único problema são os novos partidos.

(2:51) Chamam-lhes populistas, como se chamar um nome fosse por si só um argumento. (2:57) Façam um pouquinho de esforço e vejam que essa palavra, esse termo populista está por toda a parte. (3:04) Ah não, são populistas.

(3:16) Mas o que quer dizer populista? (3:18) O que quer dizer populista? (3:20) De fato, não tem argumentos. (3:22) Na metade ocidental do continente, os velhos partidos são geralmente os mesmos (3:27) desde o final da Segunda Guerra Mundial, quando houve o processo da chamada democratização. (3:35) Arrumados em duas grandes famílias, a da democracia cristã e a social-democracia.

(3:40) Essa é, digamos assim, para usar uma expressão quase jocosa, seria o jogo das tesouras na Europa. (3:51) Os seus governos falharam estrondosamente nas últimas décadas. (3:55) E é esse, e não o chamado populismo, o problema da Europa.

3:59) Vamos ser justos. (4:00) Europa ocidente, a Rússia, continua a ser uma das melhores regiões do mundo para viver. (4:06) Então ele vai dizer o seguinte.

(4:07) Se nós formos comparar com a Rússia, com o Oriente Médio, com a África, que está tudo em torno da Europa, (4:12) é claro que a Europa ainda é livre, ainda é rica e ainda parece segura. (4:19) Veja o que ele diz. (4:19) Ainda é livre, ainda é rica e ainda parece segura.

(4:24) Sendo ainda essas coisas, é cada vez menos essas coisas. (4:29) E se deve a quê? (4:31) Ao mundo político que praticamente desde a Segunda Guerra Mundial está montado em cima de todos os países. (4:37) Não é bem assim, não podemos simplificar as coisas, mas é mais ou menos assim.

(4:43) A Europa está agora em divergência com os Estados Unidos. (4:49) Ela que devia convergir com os Estados Unidos está em divergência com os Estados Unidos. (4:53) Também não está segura.

(4:56) As migrações descontroladas, conjugadas com a importação do hoquismo americano. (5:04) É muito interessante que ele fala aqui dessa ideologia hoque, com precisão. (5:09) O hoquismo americano, porquê? (5:10) Porque ele vem da esquerda americana, da esquerda americana.

(5:15) As pessoas ficam aí falando e querem dar outros nomes. (5:20) O hoquismo vem da esquerda americana, das universidades americanas. (5:24) E dos movimentos de esquerda americanos.

(5:27) Deixaram demasiada gente inquieta com a coesão nacional. (5:31) Um dos fundamentos da democracia e do modo de vida numa Europa das nações. (5:36) Prestem atenção, Europa das nações.

(5:39) Que é o que essa gente foi fazendo desaparecer. (5:44) Só a restrição da liberdade no resto do mundo faz a Europa parecer destacar-se ainda em matéria de Estado de Direito. (5:52) Vejam como ele também é cuidadoso aqui.

(5:54) Se nós formos comparar com o Brasil, claro que a Europa ainda tem muita liberdade no Estado de Direito. (6:02) Agora, já não é tanto assim. (6:08) Em eleições, os europeus têm usado a sua liberdade para rebaixar oligarquias (6:15) que consideram muito legitimamente responsáveis por suas frustrações e incertezas.

(6:21) E por isso aumentou a oferta de partidos que apelam ao povo contra os velhos partidos. (6:26) Nada encanta tanto um oligarca. (6:30) Apliquem isso ao Brasil.

(6:33) Com uma perspectiva de obrigar os eleitores, como tem feito Emmanuel Macron em França, (6:38) a votar no velho sistema como única alternativa ao fascismo. (6:43) Vejam que ele descreve nessas três linhas o que está acontecendo no Brasil. (6:48) É preciso voltar aos velhos esquemas da política.

(6:53) Porque o resto é extrema-direita, é o fascismo, é o populismo. (6:59) Não acham interessante isso aqui? (7:02) Ou seja, acham que os presos da farsa do 8 de janeiro (7:09) é só por acaso que eles são, na sua maioria, pessoas simples do povo, autenticamente do povo? (7:17) Que não são criminosos? (7:19) Acham que isso é por acaso? (7:20) Então isso é um castigo das oligarquias ao povo. (7:25) É para dar exemplo ao povo que eles, oligarcas, não permitem ser tirados do poder.

(7:35) Bom, agora ele vai falar de uma coisa muito interessante. (7:38) E as instituições, no caso da Europa, as instituições da integração europeia? (7:45) Vejam que eles fizeram na Europa uma integração que também o povo não queria. (7:53) Porque sempre que ele era consultado, quase sempre votava contra.

(7:57) Mas eles foram dando um jeito, essas oligarquias foram dando um jeito (8:01) de ir fazendo e ir montando em cima do povo. (8:06) Bom, a União Europeia tem sido outra cortina de fumaça política. (8:13) Foram as velhas oligarquias, ouçam bem, (8:17) foram as velhas oligarquias que construíram essas instituições (8:22) para depois se esconderem atrás delas.

(8:27) Ora, aqui há uma coisa muito interessante. (8:31) Eles fizeram tantas coisas na chamada União Europeia (8:35) que o europeu médio fica assim, para quem é que eu reclamo? (8:42) Reclamo para o Parlamento Europeu, reclamo para o Conselho Europeu, (8:47) reclamo para o Tribunal Europeu, reclamo para quem? (8:51) É um imenso conjunto de instituições atrás das quais essas oligarquias se escondem. (9:00) Mas o que acontece? Ele agora fala aqui do Brexit.

(9:04) O povo no Reino Unido optou por sair dessa União Europeia (9:11) e fez o Brexit, mas as oligarquias políticas (9:20) praticamente fizeram as mesmas coisas, como se não tivesse havido o Brexit. (9:25) Então ele diz, a mesma incapacidade de liberalizar a economia, (9:29) o mesmo descontrole das migrações, os mesmos ataques do wokismo. (9:35) o problema nunca estivera propriamente em Bruxelas, (9:38) mas na velha oligarquia política que governava. (9:47) E depois ele diz o seguinte, que nas próximas semanas vai haver eleições, (9:53) vai haver eleições no Reino Unido, na França, (9:56) e provavelmente partidos consagrados do esquema político vão desaparecer, (10:04) como o partido talvez do presidente Macron.

(10:08) Mas agora ele levanta aqui uma coisa. (10:11) As velhas oligarquias de esquerda e de direita não têm remédio. (10:16) Porquê? Porque eles fazem um jogo.

(10:20) Isso se observa, por exemplo, na Espanha. Estamos observando isso na Espanha. (10:25) É o Partido Socialista Obrero Espanhol, que está no poder, (10:28) e é o Partido Popular, que seria de vertente democrata cristã, (10:31) que faz todos os favores à esquerda.
(10:40) Não é que essas oligarquias não saibam e nem vejam. (10:43) Eles sabem e veem, mas estão reféns dos sistemas de interesse e cumplicidades (10:48) que construíram para se manter no poder. (10:51) Apliquem isso ao Brasil.

(10:53) Eles sabem e veem. (10:56) Eles sabem e veem que eles são mal vistos em toda parte. (11:01) Eles sabem e veem isso, mas fingem que não veem (11:05) porque é preciso proteger esse esquema oligárquico de poder.

(11:11) Então eu termino por aqui, me despedindo até o próximo vídeo, amanhã. (11:16) E, mais uma vez, eu pediria que aqueles que possam dar like nesse vídeo, (11:25) dêem like nesse vídeo, recomendem o canal para seus amigos, (11:30) conhecidos, familiares, vão a grupos de WhatsApp, (11:35) de Telegram e distribuam esse vídeo. (11:38) Comentem nesse vídeo e aqueles que puderem ajudar, (11:41) ajudem aqui pelo Pix, que está aqui embaixo.

(11:45) Eu me equivoquei, esqueci que amanhã é sábado, (11:49) então não há vídeo no sábado. (11:52) É só, volta na segunda-feira. (11:54) Esses vídeos curtos voltam na segunda-feira.

José Carlos Sepúlveda

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https://www.youtube.com/watch?v=paGsaCNcM2M

Como era a Venezuela antes do socialismo e como chegou ao que é hoje

 (0:17) Bom dia, bom dia, bom dia jacarezada, meu nome é Cléber Teixeira e essa é mais uma live (0:22) do canal O Jacaré de Tanga para vocês, desde já agradeço a presença da Virgínia Canuto (0:29) de Andrade, bom dia Virgínia, seja bem-vindo a mais uma live aqui do canal, não se esqueçam (0:35) você que está entrando agora, curta, comente, compartilhe, verifique se sua inscrição (0:39) está ativa, se é a sua primeira vez no canal e gostar do conteúdo se inscreva, Milton (0:44) Mendonça, Lula Cavalcante, Marcos Murici, Jane Borrute, Fátima Araújo, Cíntia Souza, (0:50) Nilza Marilza, Leandro Santos Augusto, Marcelo Paiva, primas oficiais Sonia Braga, Neide, (0:56) Javê Pinheiro, Edson Nogueira, Antônio Castro, todos vocês sejam muito bem-vindos (1:00) a mais uma live do canal e aqui eu deixo meu agradecimento a todos os nossos moderadores (1:06) que vão chegando aqui aos poucos, Taty Maia, Rossi, Game Over, Deidre Carla, Samantinha (1:11) Santista, Juju, Jurema Doce, Tidinha, Beija Flor, todos vocês um grande abraço aqui (1:19) do jacaré, tá bom, então aquele recadinho básico, comente, compartilhe, curta e venha (1:25) com a gente nessa live, deixa eu só dar um recado antes da gente começar a live propriamente (1:31) dito, aqui embaixo na descrição do vídeo eu vou até deixar, vou deixar agora fixado (1:41) aí para vocês enquanto a turma está chegando na live, deixa eu entrar aqui no nosso próprio (1:47) canal, vou deixar fixado aí nos comentários para o pessoal ter mais facilidade, só um (1:53) minutinho, tá aqui o link copiado, vamos publicar agora aqui para vocês no próprio (2:01) chat, vocês vão ver que eu vou fazer a postagem agora aí e deixar fixada a mensagem para vocês, (2:10) este link que está aqui fixado agora aqui no chat aqui em cima é a nossa comunidade privada, (2:18) tá certo, então você que quer fazer parte da comunidade privada eu vou ter uma live lá daqui (2:23) a pouquinho às 11 horas da manhã, você consegue fazer parte, eu falo lá coisas que às vezes eu (2:30) não posso falar aqui e a gente hoje vai fazer algo muito interessante lá que eu vou mostrar (2:35) para eles, então já está, já está lá postado né, deixa eu só avisar aqui, estou agora nesse exato (2:44) momento digitando aqui, então não vão nos calar, essa comunidade foi criada justamente para que (2:52) não nos calem, beleza, vamos lá as informações que eu quero passar para vocês, então venha fazer (3:01) parte, clique aqui agora e você faz parte, tanto aqui em cima quanto aqui embaixo, você que está (3:06) vendo gravado é só clicar aqui embaixo tem um maizinho aí, mais vai aparecer o link, você clica (3:11) lá e você pode ser membro aí dessa comunidade privada, tá bom, como era a Venezuela nos anos (3:21) 50 e 80, eu quero fazer uma pergunta aqui para vocês que já vou direto na veia, existem pessoas das (3:31) mais diversas idades que nos assistem, mas eu vou pegar aqui para mostrar para vocês agora (3:38) como é que funciona e como é que a gente tem acesso aos dados de vocês, deixa eu mudar aqui (3:43) para o jacaré de tanga, porque a gente está no jacaré de tanga nesse exato momento, não no (3:46) crocodilo-raça e eu quero pegar direto certinho a análise de agora para a gente não errar, tá bom, (3:54) eu vou pegar nossa faixa etária dos últimos 28 dias, as visualizações da nossa faixa etária, (4:01) olha, mais de 40% para ser mais preciso 40.6% do nosso canal, né, foi visualizado por pessoas (4:11) acima dos 65 anos de idade, então aqui os dados todos, olha, aqui são os dados, olha, vocês veem ali ó, (4:19) mais de 65 anos de idade 40.6%, de 55 a 64 anos 30,5% do canal, tá aqui ó, (4:30) e de 45 a 54 anos 16,5%, isso faz com que 87%, 87% do canal seja assistido por pessoas acima (4:46) dos 35 anos de idade, é uma faixa etária extremamente exigente, o que que acontece? (4:55) Eu já até falei isso na nossa comunidade privada, foi objeto de uma das lives, (5:02) esta faixa etária é uma faixa extremamente exigente, por quê? Porque é uma faixa etária vivida, (5:09) ela já tem uma determinada estabilidade financeira ou a maioria já está aposentada ou está perto (5:15) de se aposentar ou já tem um emprego, já tem vivência, já tem história, portanto 87% do nosso (5:27) canal é assistido por pessoas acima dos 45 anos de idade e a importância dessa faixa etária hoje (5:35) para o país ela é tremenda, porque esta faixa etária corresponde a mais de 35% de todo o (5:45) eleitorado que vai para as urnas agora em outubro, olha só, 35% está acima dos 50 anos de idade, (5:55) 35 acima de 50, não tô nem falando aqui dos 45 a 54, se pegar os 45 vai para mais de 40%, (6:03) então é um eleitorado com uma base muito forte e por que que eu tô lembrando isso? (6:10) Para que vocês tenham noção da importância de vocês diante do voto, nós não podemos nos (6:19) acomodar, nós que temos mais de 50 anos de idade, nós que temos mais de 45 anos de idade, (6:24) somos fundamentais para o Brasil de 2026 que a gente vai querer, e eu vou provar isso para (6:31) vocês agora, eu ainda era criança na década de 70 e adolescente na década de 80, tá, (6:41) quando começou os anos 80 eu já era um adolescente, e aí eu fico me recordando aqui de como era o (6:50) Brasil naquela ocasião, a liberdade que a gente tinha de andar nas ruas e tudo mais, (6:58) era regime militar, que eles insistem em falar de chamar de ditadura militar, era ditadura militar, (7:07) se a gente for fazer uma comparação da liberdade de expressão que existia na época com a que (7:11) existe hoje, é difícil dizer quem era mais ditatorial, o governo daquela época ou governo de (7:21) hoje, mas não é esse o ponto que eu quero tocar não, eu quero mostrar para vocês aqui as diferenças (7:29) que existiam do Brasil dos anos 70 e 80 para a Venezuela dos anos 70 e 80, e este nosso público (7:39) vai ser fundamental para os mais jovens, como aqui a gente tá mostrando a faixa etária, eu vou mostrar (7:46) aqui para vocês, dos 35 aos 44 anos, nós temos quase 8%, é 7.9% do canal e de 25 a 34 anos é de (7:56) 3,4% do canal, portanto esse cerca de 11.3%, 11.3% que estão entre os 25 e os 44 anos, sequer imaginam (8:08) isso que eu vou falar, porque nem nascidos eram nesta ocasião, por isso é fundamental a presença (8:18) de vocês e a comunicação com vocês nesse exato momento, vocês vão entender, eu vou ler um trecho (8:28) aqui para fazer uma comparação, vocês sabem que naquela ocasião o Brasil era muito diferente, (8:36) não tinha o mimimi que era hoje, existia os trapalhões, a gente saía tranquilo nas ruas, (8:44) ninguém falava na violência da maneira como a gente vê hoje, a gente não imaginava a violência (8:49) que se instaurou hoje no Brasil, então vou pegar como referência uma reportagem da BBC News, (8:59) a imprensa britânica, como era a Venezuela saudita, entre aspas, um dos países mais ricos (9:09) do mundo nos anos 50 e 80, está aqui ó, reportagem da BBC, para os ursinhos da Coca-Cola não ficarem (9:19) bravos comigo, das décadas de 50 a 80, a Venezuela nada se parecia ao que é hoje, (9:27) se atualmente o país atravessa uma crise sem precedentes, sem data para terminar, no passado (9:34) chegou a ser um dos países mais ricos da América Latina, dando inveja em seus vizinhos, inclusive (9:39) o Brasil, um de seus apelidos era por exemplo Venezuela saudita, em alusão a Arábia Saudita (9:46) devido a riqueza por conta do petróleo, na capital Caracas, os prédios eram altos e modernos para a (9:52) época, as rodovias largas, os hotéis eram considerados um luxo em um paraíso tropical e (9:59) os venezuelanos tinham o título de maiores consumidores de whisky do mundo, esse cenário (10:06) faz com que a atual crise venezuelana não seja só dramática por causa da hiperinflação, pobreza e (10:12) escassez de alimentos e remédios, problemas ocorridos nos últimos anos sob o governo de (10:17) Nicolás Maduro, ela também é dramática porque os venezuelanos estavam acostumados a viver com (10:22) certo conforto, no país algumas pessoas costumam dizer que éramos felizes e não sabíamos, outra (10:29) piada da época era a seguinte, isso está barato, então me dê dois, de certa forma esse alto poder (10:37) de compra dos venezuelanos era fictício, então quão rica era realmente a Venezuela? (10:43) Na primeira metade do século 20 a Venezuela já era um dos maiores produtores de petróleo do mundo, (10:48) mas o poder de produção estava nas mãos de empresas estrangeiras enquanto os governos se (10:52) ocupavam e de seguida as crises políticas, em 1958 depois da queda do regime militar de Marcos (10:58) Pérez Jiménez, a Venezuela viveu as três melhores décadas de sua história em termos econômicos, entre (11:05) 59 e 83 o desemprego no país se manteve na marca dos 10%, no mesmo período o crescimento médio foi (11:12) de 4,3% o ano, a inflação também era menor do que a registrada em outros países da América Latina. (11:19) A estabilidade da moeda local Bolívar permitia que muitos venezuelanos conseguissem sair do (11:24) país para temporadas de férias, principalmente em destinos como Miami nos Estados Unidos vista (11:29) como um paraíso do consumo, nos anos 70 os venezuelanos tinham o maior poder de compra (11:35) entre os países da América Latina, quase três vezes maior do que a dos brasileiros, então veja (11:41) só, vocês que falaram que bons tempos aqueles, que esses jovens de hoje só aprendem através da (11:53) boca dos seus professores esquerdistas, que fazem uma narrativa falsa do que era o Brasil de 70 e 80, (12:03) a Venezuela naquela ocasião tinha um poder aquisitivo três vezes maior do que nós brasileiros, (12:15) o que fez a Venezuela chegar aonde chegou foi o populismo barato dos governos de esquerda, (12:25) esse populismo barato começou a dizer que o socialismo era maravilhoso, que todos os (12:33) pobres iriam ter as mesmas benesses que os ricos venezuelanos tinham, que eles eram oprimidos, (12:42) que estava utilizando a mão de obra do trabalhador venezuelano para enriquecer (12:48) os ricos que passavam férias em Miami, só que não havia desemprego, a taxa era baixa, (12:58) era de cerca de 10%, hoje 90% da população venezuelana que caiu no engodo da esquerda (13:10) simplesmente vive na linha da miséria, hoje a Venezuela saiu de 10% da taxa de desemprego na (13:21) década de 80 há apenas 44 anos, se a gente for lembrar que isso que nós estamos narrando é de (13:29) 1983, nós estamos falando de 41 anos, saiu de um país mais rico da América Latina para a pobreza (13:41) extrema, isso é o que o socialismo causa nas pessoas. A pergunta que não quer calar, vocês (13:55) acham que o Brasil de hoje tá ruim? Experimenta cair no engodo da esquerda e levar em consideração (14:05) tudo que o Haddad e o Lula e companhia limitada pregam, o Brasil hoje não tá muito longe da (14:15) Venezuela, dependendo do aspecto que você falar e da região do país que você olhar, vocês vão (14:24) ver que nós não estamos muito longe dos nossos irmãos venezuelanos, a diferença é que eles eram (14:30) três vezes mais ricos que a gente.

Eu vou dar um exemplo para vocês, o Banco Central acabou de (14:39) emitir uma nota dizendo que não está descartada a possibilidade de aumento na taxa de juros, (14:46) o Banco Central está preocupado com a inflação em decorrência do aumento do dólar, uma das (14:57) mentiras e lorotas contadas ao povo venezuelano é que estatizar a empresa de petróleo venezuelana (15:06) traria mais riqueza para os venezuelanos, hoje os nossos irmãos estão vivendo sob uma enorme (15:16) reserva petrolífera, o socialismo conseguiu destruir até a riqueza do petróleo, os grandes (15:28) hotéis hoje não recebem mais ninguém, as empresas faliram, a riqueza saiu da Venezuela e hoje você (15:40) anda por aqui na região dos Estados Unidos e observa a quantidade de venezuelanos vivendo (15:47) na Flórida, eu tenho que lembrar que está cerca de duas horas e meia de avião de Miami, duas horas (15:56) e meia num simples voo comercial, seria o mesmo que pegar o avião em São Paulo e desembarcar (16:04) em Belém do Pará, praticamente a mesma distância, veja só, esta é a força do socialismo, (16:16) a turma do amor conseguiu destruir o país mais rico da América Latina na década de 80, o que (16:27) vocês acham que eles são capazes de fazer com o nosso Brasil? Vocês acham que a liberdade de (16:36) expressão no Brasil está muito diferente da liberdade de expressão na Venezuela? O ditador (16:44) Maduro venezuelano acabou de colocar como seus arqui-inimigos o WhatsApp, o Instagram, o Tik Tok, (16:55) parece que eu já vi essa notícia em algum lugar, parece que o controle das redes sociais é uma saga (17:04) que não é perseguida somente pelo ditador venezuelano, essa live na realidade é um alerta (17:15) e para mostrar para vocês o que é a realidade do socialismo, eu vou buscar aqui um pequeno banco (17:25) de imagens da Venezuela dos anos 70, vocês vão ficar impressionados, (17:36) olha só como era a Venezuela na década de 70, década de 70, ruas largas, prédios largos, (17:54) agora o que é a Venezuela de hoje? Isso aqui não é o Rio de Janeiro, quando a gente olha para (18:17) algumas imagens, as estradas na Venezuela na década de 70 e hoje vocês veem toda a diferença, (18:32) os arranha-céus venezuelanos na década de 70 e 80 e hoje vocês veem o caos, (18:44) parece o túnel de Copacabana, vocês acham que é muito diferente? Kleber parece uma favela no (18:53) Rio de Janeiro, foi por isso que eu mostrei para vocês, as imagens são da Venezuela, (19:02) aqui, Venezuela década de 70, isso se chama socialismo e a maneira como eles utilizam para (19:22) convencer a população são os meios de comunicação, é por aí que começa a entrada do socialismo, (19:34) eles começam através dos meios de comunicação e dos bancos escolares, (19:41) a primeira coisa é doutrinar nossas crianças e os nossos adolescentes, (19:46) que poder de reação nós tínhamos? Nós, de hoje, tínhamos aos 14, 15 anos de idade, (19:54) diante de um professor que estava lecionando uma matéria. Se qualquer um de nós aqui contestasse (20:03) dentro de uma sala de aula, a primeira coisa que aconteceria seria o bullying, a vergonha, (20:09) o que que o professor esquerdista faz? Eu tenho não sei quantos anos de profissão, (20:17) você quer saber mais do que eu, você que tem 14, 15 anos? O que eu estou falando aqui é regra e a (20:24) lei, vocês são alunos, aprendam e se calem, é assim que começa. Depois, essa criança, esse (20:36) adolescente é instigado a se voltar contra os próprios pais e contra sua família, meus pais (20:42) são opressores, são capitalistas opressores que só pensam em dinheiro, eles querem é oprimir, (20:55) o resultado disso, o que vocês veem hoje nas universidades federais brasileiras, (21:01) é isso o que acontece no Brasil, foi assim que começou na Venezuela.

(21:12) E aí, esse adolescente chega em casa e liga a rede bobo de televisão, (21:20) e ele aprende tudo aquilo que a esquerda quer. Ideologia de gênero, destruição de família, (21:33) atentado contra as famílias cristãs e contra o próprio cristianismo, 24 horas por dia na televisão (21:42) aberta. Esta criança, esse adolescente, é que eles buscam, mas hoje eles estão cada vez mais (21:54) audaciosos, colocam cartilha de ideologia de gênero para crianças de 5, 6, 7, 8 anos de idade.

(22:06) Esse é o absurdo vivido no Brasil e se nós não tomarmos providência de imediato, vocês vão ver (22:14) o Brasil virando uma Venezuela. Quando a gente traz as informações para vocês e mostra a realidade (22:21) dos fatos, é para que as pessoas comecem a entender o risco que nós estamos correndo no nosso país. (22:31) É sobre isso que eu vou trazer a informação na live, na nossa comunidade privada.
(22:43) Eles estão numa batalha contra a internet, porque a internet traz a verdade para vocês, (22:49) através dos canais de YouTube, através das páginas Facebook, X, Instagram, que estão cada (22:57) vez mais repressivas, porque dependendo do que você colocar e falar, não distribui sua live. (23:08) Olha só, nós temos um milhão trezentos e oitenta mil pessoas no crocodilo, no jacaré de tanga, (23:19) inscritas, um milhão trezentos e oitenta mil pessoas. Nós temos exatamente agora, com 23 minutos (23:28) de live, 1.255 pessoas on time.
Vocês acham que o YouTube está distribuindo o conteúdo (23:35) dos canais de direita? Realmente? Vocês acham que eles têm interesse que vocês saibam a verdade? (23:46) Justamente por isso, nós criamos uma plataforma de comunicação. (23:52) Esta plataforma está aqui, no link disponível para vocês, fixado no chat e aqui embaixo na descrição. (24:01) Não vão nos calar.

Cada um de vocês é um multiplicador. (24:10) Eu vou falar aqui, novamente para vocês, eu vou deixar uma live e antes que queiram dizer (24:17) que eu estou fazendo propaganda para o cara, tal, etc, eu estou pegando como referência. (24:21) Eu mostrei ontem, numa live para vocês, o desespero da imprensa com o Pablo Marçal.

(24:26) Hoje começou a haver uma movimentação dos partidos políticos para proibir o Massa de (24:31) participar do debate da Globo. A alegação deles é que, se permitir que o Pablo Massa entre, (24:37) várias outras retransmissoras da Globo Brasil afora vão ter que ceder espaço para candidatos (24:43) que estejam na mesma situação que ele. Haveria um precedente, portanto, ele não pode participar (24:48) do debate.

Mentira! Eles estão preocupados, justamente, é que ele atinja um público que (24:56) hoje não é atingido pela rede social. Eu vou mostrar isso para vocês e os dados lá na live (25:05) privada que eu vou fazer daqui a pouco. E justamente por isso o Maduro se volta contra (25:10) as redes sociais.

Vocês são agentes multiplicadores. Se cada um de vocês que está hoje aqui nessa live, (25:19) mesmo sendo 1.200 pessoas, nós somos exatamente 100 vezes mais pessoas nesse exato momento do (25:27) que os 12 apóstolos que Cristo tinha. Parem e pensem nisso.
A revolução cristã, o cristianismo (25:37) que nós começamos hoje, começou com 12 apóstolos. Nós somos, nesse exato momento da live, 1.276 (25:47) pessoas ao vivo. Dá exatamente 100 vezes mais do que Cristo tinha na ocasião.

Ah, se Jesus tivesse (25:57) a internet, como tudo seria diferente no mundo hoje. E é exatamente isso que é a proposta dessa (26:06) plataforma. De nós formarmos pessoas que vão fazer a diferença.

Essa é a diferença. Vamos levar (26:23) em consideração o seguinte, se nós começarmos hoje, qual vai ser o país que nós vamos ter em 2026? (26:33) Uma Venezuela ou um Brasil pungente com as riquezas que ele tem e a principal riqueza do (26:42) Brasil é o povo brasileiro? A principal riqueza do Brasil é o povo brasileiro. Na live anterior eu (26:50) mostrei pra vocês o ouro de uma medalhista chamada Rebeca.
A Rebeca recebe 20 mil reais de salários (26:59) mensais. Enquanto que a concorrente dela, a Biles, aqui dos Estados Unidos, recebe 500 mil reais por (27:11) mês de salário. O equivalente a 500 mil reais por mês de salário.

Ou melhor, 500 mil reais não, 500 mil (27:18) dólares, desculpa, 2 milhões e meio de reais por mês. Contra os 20 mil reais da Rebeca. Essa é a (27:27) diferença.

O povo brasileiro é capaz de fazer muito com muito pouco. A Rosely Sumira falou (27:36) saudade do mito. Veja só, olha só que coisa curiosa.

O que seria o Brasil se Bolsonaro não (27:49) tivesse ganho em 2018? Com a pandemia, com o maldade na presidência. Vocês já imaginaram (27:56) o que nós nos livramos? Será que não teríamos virado a Venezuela nesse período? Parem e pensem. (28:06) Eu vou deixar toda essa live aqui na cabeça de vocês para que vocês pensem no que eu falei.

(28:16) Vejam se nós não estávamos correndo risco de hoje estarmos na mesma situação que a Venezuela. (28:24) Parem e pensem nisso. (28:29) Meus amigos, daqui a pouquinho eu vou estar ao vivo.

Hoje à noite eu não vou transmitir live, (28:35) mas eu vou deixar um vídeo gravado para vocês que eu vou publicar logo mais à tarde. (28:41) Ontem eu tinha alguns compromissos por conta do furacão, vocês viram, teve quatro mortes aqui na (28:47) Flórida por conta do furacão. Já está distante, o sol já abriu e aí eu vou cumprir a agenda que (28:55) eu tinha programado para ontem, por isso eu não vou estar aqui ao vivo para vocês.

Mas eu peço (29:02) que vocês compartilhem ao máximo essa live e que curtam o vídeo que eu vou deixar gravado para (29:08) vocês daqui a pouco. Não esqueçam, tudo posso naquele que me fortalece. Quem nos fortalece é Deus.

(29:17) Até o próximo vídeo ou live. Tchau, tchau pessoal!

Cléber Teixeira (Jacaré de Tanga e Crocodilo Reaça)


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